Qui parmi vous trouve du plaisir dans son travail ? N'hésitez pas à partager vos expériences inspirantes !
Commentaires (10)
C'est une excellente question, celle du plaisir au travail. Je pense que ça dépend tellement des individus, de ce qu'ils recherchent réellement. Perso, en tant que pilote, y'a des jours où c'est juste une routine, un enchaînement de procédures. Mais il y a aussi ces moments... Ces levers de soleil au-dessus des nuages, la sensation de maîtriser une machine complexe, d'emmener des gens en sécurité à destination. C'est là que le plaisir se pointe. Et puis, il y a l'évolution dont tu parles. J'ai l'impression qu'on ne peut pas trouver un plaisir durable sans un certain niveau d'apprentissage constant, de dépassement de soi. C'est peut-être pour ça que je suis aussi passionné par l'animation 3D pendant mon temps libre. C'est un autre domaine, mais le sentiment de créer quelque chose de nouveau, de progresser, est le même. C'est intéressant ce que tu dis, parce que tu as raison, un job c'est un job, mais y mettre du coeur change tout. Après, faut aussi avoir la chance de tomber sur un truc qui nous correspond. Je crois que pas mal de gens se retrouvent coincés dans des boulots alimentaires sans jamais avoir vraiment cherché ce qui les anime. Faudrait pouvoir, dès le collège peut être, pouvoir faire plus d'expériences, des stages, des trucs concrets. Se découvrir en faisant, quoi. J'ai l'impression que ceux qui trouvent vraiment leur voie, c'est ceux qui ont osé essayer des choses différentes, quitte à se planter. C'est un peu comme ces sportifs handicapés dont on parle dans les 'data'. Leur histoire est un beau témoignage, il faut une sacrée force de caractère pour transformer un handicap en force. Je pense à Sean Stephenson, Nick Vujicic, Evgeny Smirnov, Olesya Vladykina. Leur dévouement est une réelle force pour ceux qui en ont besoin. Ils montrent que le plaisir, ou du moins, une forme d'accomplissement, peut se trouver même dans des situations extrêmes. Des exemples de courage, comme tu dis. Enfin bref, je m'égare peut-être un peu, mais je trouve que ta question est importante. Faut pas se contenter de 'subir' son travail. Faut essayer de trouver ce qui nous fait vibrer, même si c'est pas toujours facile.
Complètement d'accord avec l'idée d'apprendre et de se dépasser pour trouver du plaisir. 💯 Dans le design, c'est pareil. On peut vite tomber dans la routine, refaire toujours les mêmes interfaces... Mais quand on se force à explorer de nouvelles approches, à maîtriser un outil, là, il y a une vraie satisfaction. ✨ Et pour les jobs alimentaires, c'est un vrai problème. Peut-être qu'une piste serait d'intégrer plus de créativité, même dans les tâches les plus ingrates ? 🤔 Par exemple, transformer une chaîne de montage en un jeu, ou trouver des façons d'automatiser les parties les plus ennuyeuses. C'est un défi, mais ça vaut le coup d'essayer. 💪
C'est clair que la créativité, c'est une sacrée clé ! En tant que kiné, je vois tellement de patients qui sont usés, pas seulement physiquement, mais aussi mentalement, par des boulots répétitifs et dépourvus de sens. Essayer d'introduire une dimension créative, même minime, ça peut vraiment changer la donne. L'idée de transformer une chaîne de montage en jeu, c'est pas bête du tout. Faut juste que ce soit bien pensé pour pas que ça devienne une source de stress supplémentaire. Mais si on arrive à gamifier le truc de manière intelligente, ça peut rendre le travail plus stimulant et moins monotone. J'ai lu des trucs sur le "flow", cet état où on est tellement absorbé par une activité qu'on perd la notion du temps. Si on pouvait concevoir des environnements de travail qui favorisent cet état, ce serait génial. Et puis, automatiser les tâches les plus pénibles, ça me semble essentiel. On parle beaucoup de l'impact de l'IA sur l'emploi, mais si on l'utilise intelligemment, elle pourrait justement nous libérer des corvées les plus abrutissantes et nous permettre de nous concentrer sur des tâches plus valorisantes et créatives. Reste à voir comment on gère la transition, histoire de pas laisser des gens sur le carreau. Ce qui est ressorti de l'article sur le courage, c'est que pas mal de personnes ont une force de caractère peu commune, je pense par exemple à Sean Stephenson, Nick Vujicic, Evgeny Smirnov, Olesya Vladykina. Je suis complètement d'accord, on a tous en nous une forme de créativité, même si on n'en est pas toujours conscients. Le tout, c'est de trouver les moyens de l'exprimer, que ce soit dans son travail ou dans ses loisirs. Et c'est là que les entreprises ont un rôle à jouer, en offrant des opportunités de développement personnel et professionnel à leurs employés.
Merci pour vos réponses, c'est super intéressant de lire vos expériences et vos idées ! 🙏
Hello ! C'est cool d'avoir lancé ce sujet. Tu dis "Pasjusteun'c'estunjob',maisquelquechosedeplus..." mais tu pourrais développer un peu ? Genre, c'est quoi "quelquechosedeplus" pour toi concrètement ? Tu as des exemples de ce que tu recherches ou admires chez les autres ?
Salut SurfingDoc, En fait, quand je dis "quelquechosedeplus", je pense à un sentiment d'utilité, d'accomplissement. Un truc qui te fait dire que tu sers à quelque chose, que tu laisses une empreinte, même petite. Par exemple, je suis dév web, mais ce qui me motive, c'est pas juste de coder. C'est de voir que mon code aide des gens, facilite leur quotidien, ou même leur apporte un peu de joie. C'est peut-être naïf, mais c'est ça qui me fait me lever le matin. Ou alors, quand je crée mes bougies, j'aime bien penser que ça crée une ambiance, un moment de détente pour ceux qui les utilisent. J'admire ceux qui arrivent à trouver ce "plus" dans leur job, quelle que soit sa nature. Ceux qui mettent du cœur à l'ouvrage et qui cherchent à faire du bon boulot, même si c'est pas toujours facile. Je trouve ça inspirant. J'espère que c'est plus clair !
Quand tu dis que tu es dév web, mais que c'est pas juste le code qui te motive, je comprends tout à fait. Moi, en tant qu'ingé son, c'est pareil : balancer des lignes de code pour un soft de traitement audio, c'est une chose, mais savoir que ça va permettre à des artistes de créer des trucs incroyables, ou juste améliorer l'expérience sonore de quelqu'un, c'est une autre paire de manches. C'est là que ça devient vraiment excitant.
Bon, je voulais vous donner un petit retour après nos discussions. J'ai essayé d'intégrer un peu plus cette notion d'utilité dans mon travail de dév. web. Plutôt que de juste voir les taches comme des lignes de code à produire, j'ai pris le temps de mieux comprendre l'impact de mon travail sur les utilisateurs finaux. Et bien figurez-vous que ça change pas mal la donne ! Savoir que le site web que je suis en train de développer va aider une petite association locale à se faire connaître, ça me motive beaucoup plus que de simplement cocher des cases sur une liste de taches. C'est peut-être tout bête, mais ça me donne un sentiment d'être plus connecté à ce que je fais, et du coup, de prendre plus de plaisir. Merci pour vos conseils et vos partages d'expériences, ça m'a vraiment aidé à recentrer les choses.
Si je comprends bien, on est parti de la question du plaisir au travail, au-delà du simple aspect alimentaire. Plusieurs pistes ont été explorées : l'importance de l'apprentissage continu, de la créativité, et surtout, du sentiment d'utilité et d'accomplissement. On a aussi parlé de l'impact positif de l'automatisation et de la "gamification" pour rendre les tâches plus motivantes. Et enfin, certains ont souligné l'importance d'avoir un "plus" dans son travail, peu importe sa nature.
C'est bien de faire une petite synthese comme ca, ca permet de voir ou on en est de la discussion. C'est vrai que le "plus" c'est un peu le fil rouge qui ressort, apres chacun le trouve ou il peut !
Je me demandais, en fait, si beaucoup de personnes ressentaient un vrai plaisir, une satisfaction profonde dans ce qu'elles font au quotidien. Pas juste un 'c'est un job', mais quelque chose de plus... Un sentiment d'être à sa place, d'apporter quelque chose, voire d'évoluer. Si c'est votre cas, ce serait super d'entendre vos histoires, ce qui vous motive, ce qui vous fait vibrer. Et si c'est pas le cas, bah... peut-être que ça donnera des pistes à d'autres !